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Après une première Aston Martin Lagonda en 1974 qui a l’apparence d’une V8 à quatre portes, arrive l’étonnante Lagonda dessinée par William Towns. Cette berline futuriste à tableau de bord électronique est dévoilée en 1976 et sa production démarre en 1978. Elle est reproduite ici sous sa forme originelle (dite “Série 2”), très épurée, avant son partiel recarrossage de mars 1987.
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Après une première Aston Martin Lagonda en 1974 qui a l’apparence d’une V8 à quatre portes, arrive l’étonnante Lagonda dessinée par William Towns. Cette berline futuriste à tableau de bord électronique est dévoilée en 1976 et sa production démarre en 1978. Elle est reproduite ici sous sa forme originelle (dite “Série 2”), très épurée, avant son partiel recarrossage de mars 1987.
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Élaborée sur la plate-forme raccourcie de la DB11, la Vantage, dévoilée fin 2017, a débuté sa carrière en 2018. Lancée en coupé à deux places, elle s'est déclinée en roadster en 2020. Sous le capot de cette propulsion loge au départ un V8 4 litres gavé par deux turbos, épaulé à partir de 2022 par un V12 5,2 litres de 700 ch, version reproduite ici. Cette reproduction Top Speed est en résine.
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Les Aston Martin évoluent lentement mais sûrement. Cette DB2/4 MKIII, plus communément appelée MKIII, est diffusée de 1957 à 1959 à 511 exemplaires. Elle succède à la DB2/4 MKII, apportant une calandre en podium redessinée, moins haute, qui va caractériser les Aston Martin suivantes. Dans le film Goldfinger, James Bond conduit une DB5 mais dans le roman de Ian Fleming, c’est bien une MKIII.
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Chez Aston Martin comme chez Lamborghini ou Ferrari, les modèles de série ne sont pas assez exclusifs aux yeux de certains clients. C’est la raison pour laquelle les tirages très limités sont désormais fréquents. Zagato a ainsi réalisé cette Vanquish spéciale en 2016 en coupé, reproduit ici, shooting brake et cabriolet, produits chacun à 99 exemplaires, puis en Speedster en 2017.
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Fabriquée de 1958 à 1963, la DB4 est surtout restée dans l’histoire par sa version Superleggera carrossée par Touring (75 exemplaires produits) et la GT Zagato (19 unités). Mais l’essentiel de la production (1 040 unités) aura été assuré par le très élégant coupé “usine” notamment identifiable à ses optiques avant verticales. On y ajoutera 70 cabriolets fabriqués de 1961 à 1963.
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La DB2 lancée en 1950 devient DB2/4 en 1953 en gagnant notamment deux (minuscules) places à l’arrière. Un certain nombre de carrossiers indépendants auront habillé quelques châssis nus de DB2/4. C’est le cas de cette version, signée de l’italien Vignale destinée en 1954 au roi Baudouin de Belgique. Elle est ici dans sa teinte d’origine avec son toit couleur cuivre.
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Dévoilée au Salon de Genève en mars 2015, l’Aston Martin Vulcan n’est pas homologuée pour la route. Il s’agit d’une voiture de piste, mais qui n’est pas pour autant destinée à la compétition. C’était déjà le cas notamment des Ferrari FXX et McLaren P1 GTR. Tirée à seulement 24 exemplaires, cette supercar est dotée d’un V12 7 litres atmosphérique de 820 ch.
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Dévoilée à Genève en mars 1986 sous la forme d’un coupé, cette sportive a alors marqué le retour de la coopération entre Aston Martin et l’Italien Zagato. Lequel en a fabriqué 52 exemplaires avant d’en décliner, en 1987, ce cabriolet, produit à 37 exemplaires (certaines sources évoquent 25 exemplaires), mais dont la puissance du V8 était ramenée de 430 ch (sur le coupé) à 309 ch.
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Chez Aston Martin comme chez Lamborghini ou Ferrari, les modèles de série ne sont pas assez exclusifs aux yeux de certains clients. C’est la raison pour laquelle les tirages limités de modèles spécifiques sont désormais fréquents. Zagato a réalisé cette Aston Martin en 2016 en coupé, shooting brake et cabriolet, déclinée dans cette version Speedster en 2017, tirée à 28 exemplaires.