Dessinée par Ghia, la Ghibli apparaît en coupé au Salon de Turin de 1966 et se décline deux ans plus tard, au même salon, en un cabriolet aux lignes très épurées. La Ghibli partage le principe d'un capot interminable suivi d'un mini habitacle à deux places avec la Ferrari 365GTB/4 alias la Daytona qui arrive en 1968. Le moteur est ici un V8 4,7 litres de 340 ch SAE.

Dessinée par Ghia, la Ghibli apparaît en coupé au Salon de Turin de 1966 et se décline deux ans plus tard, au même salon, en un cabriolet aux lignes très épurées. La Ghibli partage le principe d'un capot interminable suivi d'un mini habitacle à deux places avec la Ferrari 365GTB/4 alias la Daytona qui arrive en 1968. Le moteur est ici un V8 4,7 litres de 340 ch SAE.

La Sebring, c'est la "petite" Maserati des années 1960. Présenté à Turin en 1962, ce coupé dessiné par Vignale dispose du plus petit 6 cylindres de la maison : un 3,5 litres de 235 ch. Au fil de la décennie, l'offre s'étendra puisqu'en mars 1966 viendront en renfort un 3,7 litres 245 ch et un 4 litres 255 ch. 591 Sebring seront produites jusqu'en 1969. En rouge depuis mars 2022.

Après de longues années consacrées prioritairement à la compétition, Maserati lance son premier modèle de route en 1957. C’est la 3500 GT (Gran Turismo), déclinée en un coupé habillé par Touring, et en cabriolet signé Vignale. Comme le nom du modèle l'indique, le moteur cube 3,5 litres ; il s’agit d’un 6 cylindres. Elle sera produite jusqu’en 1964 et servira de base à la 5000 GT.

Après de longues années consacrées à la compétition, Maserati lance son premier modèle de route en 1957. C’est la 3500 GT (Gran Turismo), déclinée en un coupé dessiné par Touring, et un cabriolet signé Vignale. Pietro Frua aura aussi habillé quatre exemplaires de 3500 GT, dont cet élégant roadster réalisé en 1959 aux faux airs de Renault Floride, née en 1958 et dont il est aussi l’auteur.

Produite de 1959 à 1964, la 5000 GT est une variante exclusive de la 3500 GT, la première Maserati de série lancée en 1957. La 5000 GT apporte le premier V8 maison, un 4,9 litres, et, contrairement à sa petite sœur, elle reçoit différents habillages de carrossiers réputés. Dont, ici, l'Italien Allemano qui habillera 21 des 33 exemplaires de 5000 GT fabriqués. Cette Minichamps est en résine.

La Maserati A6G a parfois été carrossée par Zagato. Cette A6GCS, sa déclinaison destinée à la compétition mais qui a aussi pris la route, est, elle, habillée par Pininfarina (le logo sur les flancs en atteste). Datée de 1953, la berlinetta Pininfarina sera fabriquée en 4 exemplaires, auxquels s’ajoutera un spider. Cette réalisation Whitebox est bien sûr plus simple que celle produite par NEO.

Présentée en 1963 en coupé et dès 1964 en cabriolet, la Mistral, dessinée par Frua, est à la fois la dernière Maserati avec le 6 cylindres maison issu de la Formule 1, et la première d’une longue lignée à porter le nom d’un vent. Jusqu’en 1970, il se fabriquera 828 Mistral coupés et 120 cabriolets. Cette reproduction Whitebox est bien sûr plus simple que celle réalisée par Minichamps.

Cette 6ème génération de Quattroporte dévoilée fin 2012 est la première de la lignée à pouvoir disposer d’un diesel et à offrir le choix entre deux ou quatre roues motrices. Cette dernière transmission est disponible avec le V6 essence. Whitebox reproduit ici une version GTS, qui n’existe qu’en propulsion mais constitue néanmoins le haut de gamme avec son V8 essence de 530 ch.

Présentée en 1963 en coupé et dès 1964 en variante cabriolet, la Mistral, dessinée par Frua, est à la fois la dernière Maserati à disposer du 6 cylindres maison issu de la Formule 1, et la première d’une longue lignée à être baptisée d’un nom de vent. Minichamps date de 1964 cette reproduction réalisée en résine. Jusqu’en 1970, il se fabriquera 828 Mistral coupés et 120 cabriolets.

Cette 6ème génération de Quattroporte dévoilée fin 2012 est la première de la lignée à pouvoir disposer d’un diesel et à offrir le choix entre deux ou quatre roues motrices. Cette dernière transmission est disponible avec le V6 essence. Whitebox reproduit ici une version GTS, qui n’existe qu’en propulsion mais constitue néanmoins le haut de gamme avec son V8 essence de 530 ch.

Cette 6ème génération de Quattroporte dévoilée fin 2012 est la première de la lignée à pouvoir disposer d’un diesel et à offrir le choix entre deux ou quatre roues motrices. Cette dernière transmission est disponible avec le V6 essence. Whitebox reproduit ici une version GTS, qui n’existe qu’en propulsion mais constitue néanmoins le haut de gamme avec son V8 essence de 530 ch.

En 2007, le GranTurismo a été jugé trop américanisé pour l’esprit Maserati, trop gros, trop lourd, et sans boîte manuelle. Une version 4.7 vient vite arranger les choses avec un moteur plus vif. La MC Stradale reproduite ici va plus loin avec un allègement de 110 kg et sa boîte robotisée. Dévoilée fin 2010 avec 440 ch, elle est ici en version 2013 passée à 460 ch.

Cette 6ème génération de Quattroporte dévoilée fin 2012 est la première de la lignée à pouvoir disposer d’un diesel et à offrir le choix entre deux ou quatre roues motrices. Cette dernière transmission est disponible avec le V6 essence. Mais Whitebox reproduit ici une version GTS, qui n’existe qu’en propulsion mais constitue néanmoins le haut de gamme avec son V8 essence de 530 ch.

Produite de 1959 à 1964, la 5000 GT est une variante exclusive de la 3500 GT, la première Maserati de série lancée en 1957. La 5000 GT apporte le premier V8 maison, un 4,9 litres, et, contrairement à sa petite sœur, elle reçoit différents habillages de carrossiers réputés. Dont l'Italien Allemano qui habillera 21 des 33 exemplaires de 5000 GT fabriqués. Cette Minichamps est en résine.

La Gran Turismo sort à l'été 2007. Jugée trop américanisée par les fans du Trident (trop grande, sans boîte manuelle), elle va convaincre au fil du temps, avec son V8 d'origine Ferrari passé de 4,2 litres à 4,7 litres sur la version S. Puis avec cette variante destinée à la compétition, catégorie GT4, présentée en 2009 ici en version "test car".

Lâché par Citroën, Maserati en difficultés est racheté par son compatriote De Tomaso en 1975. De cette union naît en 1976 la Kyalami (datée ici de 1982, sans grande raison), qui reprend la carrosserie de la De Tomaso Longchamps vendue depuis 1972. Les moteurs V8 sont toutefois différents, ainsi que la calandre, spécifique à chaque modèle. En bleu depuis novembre 2012. Existe aussi en noir.

La 3ème génération de Quattroporte, dont la lignée remonte à 1963, a été longue à venir. Présentée en 1976, elle n'est produite qu'à partir de 1979. Elle reçoit alors un V8 de 4,2 litres ou, au choix, 4,9 litres. C'est cette dernière qui est reproduite ici en résine. Disponible en couleur "Marrone Colorado" ou, ici, "Oro Longchamps".