La Renault 5 née début 1972 va prendre son temps pour proposer des versions performantes. En 1974, une discrète TS de 64 ch marque un premier pas. Puis une version Alpine est dévoilée en mars 1976. Le 1,4 litre couplé à la boîte 5 de la R16 TX affiche cette fois 93 ch bien plus vigoureux. Cette Alpine Turbo arrive enfin en septembre 1981, cette fois forte de 110 ch.
Renault Mégane RS Trophy 2019 jaune (Norev) 1/18e
Lancée à l’automne 2015, la 4ème génération de Mégane aura dû attendre jusque début 2018 pour avoir droit à sa version sportive RS. Forte de quatre roues directrices et d’un 1,8 litre turbo affichant 280 ch, elle se déclinait à son tour, à l’été 2018, en version RS Trophy, encore plus radicale, armée d’un châssis Cup, d’un différentiel Torsen et d’une puissance portée à 300 ch.
Comme toutes les Peugeot depuis la 308 de 2013, la 208 s’est renouvelée tout en conservant le patronyme de sa devancière. Mais impossible, visuellement, de confondre les deux générations ! Présentée en février 2019 et lancée à l’automne suivant, cette deuxième 208 repose sur la plate-forme de la DS3 Crossback. Elle est reproduite ici en finition GT Pack, couleur rouge Elixir.
Comme toutes les Peugeot depuis la 308 de 2013, la 208 s’est renouvelée tout en conservant le patronyme de sa devancière. Mais impossible, visuellement, de confondre les deux générations ! Présentée en février 2019 et lancée à l’automne suivant, cette deuxième 208 repose sur la plate-forme de la DS3 Crossback. Elle est reproduite ici en finition GT Pack, couleur jaune Faro.
Ce cabriolet, le fameux Duetto, a traversé un certain nombre d’époques. Né en 1966, il sera restylé trois fois. D’abord fin 1969, lorsqu’il perd sa silhouette “os de sèche” puis en 1983 lorsqu’il reçoit des gros pare-chocs et des éléments de plastique. Un ultime restylage apparaîtra en 1990 pour ses trois dernières années. La version reproduite ici date de 1978, il s'agit donc d'une "Série 2".
Construite à l'initiative de l'importateur américain de l'époque, la magnifique 507 est présentée en 1955 et produite à partir de la fin 1956. Elle devait sauver BMW du marasme économique qui l'accablait alors. Bien plus chère que prévu à produite (carrosserie aluminium faite main, moteur V8), elle aggravera plutôt des choses. Selon les sources, entre 252 et 254 unités en seront produites.
Pour 1959, la DS, présentée en 1955, se décline en break. En fait, il ne s’agit pas de la DS break, mais de l’ID break. L’ID, née un an après la DS, en est la version simplifiée, avec un équipement moins complet, une technique plus ordinaire (plus d’assistance de direction) et un moteur moins puissant. Il s’agit ici d’une ID de 1967 de couleur Bleu Orient.
Alors que l’Ami 6 avait attendu près de 4 ans son break, l’Ami 8, lancée en mars 1969 profite de cette variante dès l’automne suivant. Les modifications esthétiques entre l’Ami 6 et l’Ami 8 sont moins flagrantes sur le break. Sa sortie coïncide avec l’arrivée de freins à disques à l’avant de toutes les Ami 8. Elle porte une immatriculation localisée dans l'Eure (27) datée de 1975.
Matra a été célèbre pour ses victoires au 24 H du Mans de 1972 à 1974. Sa production automobile aussi est célèbre… et éclectique : de la petite sportive 530 de 1967 à l’Avantime pour Renault en 2001. Le Rancho est sorti en 1977. Véhicule de loisirs basé sur la version utilitaire de la Simca 1100, la VF2, le Rancho, né Matra Simca, est ici dans sa version rebadgée en 1980 Talbot-Matra.
Présentée en février 1983, la 205 connaîtra un succès phénoménal, faisant littéralement renaître Peugeot. Elle délogera même la Renault 5 de la tête du marché français. Il s'agit ici d'une version 5 portes en finition GL, que Norev date de 1988, profitant alors d’une planche de la bord redessinée en juillet 1987 et d’un petit becquet en haut du hayon (peu visible ici).
En 1969, l’Ami 6 s’était muée en Ami 8 tout en conservant le bicylindre. Début 1973, Citroën lui offre, en complément, un moteur plus vif : le 4 cylindres à plat de la GS, faisant passer la puissance de 32 à 53 ch. Appelée Ami Super et identifiable à sa bande sur le haut des flancs et à son motif sur la calandre, elle sera faiblement diffusée. Elle est reproduite en Blanc Meije depuis août 2023.
L’Ami 6 née en 1961 laisse place en mars 1969 à l’Ami 8. L’insolite lunette arrière inversée disparaît au profit d’une ligne deux volumes, mais sans hayon. Le dessin de la calandre est modernisé tandis que le bicylindre est repris. L’Ami 8 est ici dans sa finition Club, identifiable à sa baguette chromée au bas des flancs. Elle est reproduite au 1/18e couleur Vert Iris depuis août 2023.
Le 8 mars 1971 l’A310 vient épauler la célèbre A110 en apportant une petite dose de confort. Le style est moderne et inspiré, la carrosserie toujours en polyester stratifié et le moteur, celui de la R16TS au départ, reste en porte-à-faux arrière. Norev reproduit ici une A310 1600 VE des premières années, avant qu'elle ne devienne VF fin 1973 en adoptant le moteur de la R17 injection.
Le cabriolet 504 sort en 1969, comme le Coupé. Comme lui, il est signé Pininfarina et repose sur une base raccourcie de la 504 berline. En 1974, un restylage apporte et le V6 franco-suédois et des feux arrière redessinés (larges rectangles) qui succèdent aux feux en trois parties de la première génération reproduite ici. En 14 ans, à peine plus de 8 000 cabriolets 504 seront fabriqués.
En mars 1969 est lancée l’élégante 504 Coupé, dessinée par l'italien Pininfarina. Déclinée aussi en cabriolet, elle sera restylée une première fois en 1974 et adoptera alors un moteur V6. Mais la version reproduite ici par Norev est une première génération, avec ses feux arrière en trois parties et donc forcément à 4 cylindres. Son immatriculation dans le Puy-de-Dôme (63) est datée de 1972.
La Mercedes Classe S est une institution dans le monde des berlines de prestige. Malgré l'attaque de rivales venues notamment de chez Audi ou Lexus, elle est toujours restée leader de son segment au niveau mondial. Celle reproduit ici par Norev est la génération dévoilée en septembre 2020, dont le nom de code interne est W223. Elle profite ici de la présentation AMG-Line.
Porsche a plusieurs fois dans son histoire estimé qu'une berline sportive aurait sa place dans sa gamme. Le pas fut franchi en 2009 avec la Panamera, aux allures de très grosse 911, sans qu'elle n'en reprenne un seul élément. D'ailleurs, la Panamera place ses moteurs à l'avant. Il s'agit ici de la Panamera de première génération, dans sa version Turbo alors équipée d'un V8 4,8 litres de 500 ch.
En août 1972 est présentée la 1303 : il s'agit de la dernière évolution vraiment visible de la célèbre Coccinelle. Celle-ci était déjà devenue 1302 en 1971 avec de nouvelles suspensions permettant d'agrandir coffre (à l'avant). La 1303 y ajoute un pare-brise bombé et une planche de bord réagencée. Le Cabriolet, doté d'un 1,6 l de 50 ch, est produit chez Karmann.
C'est le 27 juin 1962 qu'Alfa Romeo lève le voile sur la nouvelle et jolie Giulia, berline de 4,14 m de long. C'est alors une Giulia TI à moteur double arbre de 1,6 litre. Elle sera épaulée à partir de 1965 par cette finition Super, plus raffinée et au tableau de bord revu. La gamme Giulia, déclinée ensuite en plusieurs motorisations, restera au catalogue Alfa Romeo jusqu'en 1977.
Basés sur la R12, les coupés 15 et 17 nés fin 1971 partagent la même silhouette. Mais la 17, à vocation plus sportive, remplace la large vitre latérale arrière de la 15 par une lucarne et une grille de custode. La 17 est ici dans sa finition Gordini lancée à l'automne 1974, qui n'est en fait qu'une 17 TS rebaptisée afin de faire perdurer quelques temps encore le nom Gordini.