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Cette marque italienne est née en 1946, peu avant Ferrari. Fabriquée à partir de 1947, la 202 est une berlinette (et une barquette) à vocation sportive mais qui se contentait du 1100 Fiat. L’essentiel de la (petite) production a été habillé par Pinin Farina mais quelques exemplaires ont été carrossés par d’autres maisons comme ce rare coupé Allemano de 1951 à mécanique Abarth.
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Lancée en 2016, cette génération d’Abarth 124 fait bien sûr référence à la célèbre Fiat 124 Abarth des années 1960 et 1970. Il s’agit de la version boostée de la Fiat 124 Spider apparue en 2015 et toutes les deux sont directement issues de la quatrième génération de Mazda MX-5. Elles sont d’ailleurs fabriquées au Japon, à Hiroshima. L’Abarth 124 est ici dans sa couleur Costa Brava 1975.
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Dans les années 1960, Abarth réalise des préparations moteur sur des Fiat et des Simca notamment, mais dispose également de sa propre gamme de modèles. La Monomille (mono pour un seul arbre à cames) est issue des Abarth 750 GT Zagato et 1000 Bialbero mais se destine à une utilisation davantage routière. Elle sort en 1961 et devient GT à partir de 1963.
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À côté des simples préparations moteurs (et châssis) sur base Fiat et Simca, Abarth propose à l'époque, en 1965, également une gamme de coupés et cabriolets qui lui sont propres. Et souvent dessinés par des "grands", comme Bertone ou, ici, Pininfarina. La base de cette berlinette d'à peine 700 kg reste toutefois une Fiat, une 850 en l'occurrence, avec un moteur 1 litre placé à l'arrière.
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On dirait une Fiat 500. C'est une Abarth 595 SS. De la petite Fiat, l'Abarth conserve l'apparence mais à l'arrière, le moteur n'affiche plus 500 cm³ mais 595 et la puissance passe de 22 à 32 ch ce qui, pour 495 kg à déplacer, commençait à l'époque à en faire de la graine de GTI. Elle est aussi reproduite par Spark.