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Mise au point en 1962, la M63 est la première Alpine développée pour la compétition. Son dessin est signé Marcel Hubert qui œuvrait auparavant chez DB, d’où une ressemblance entre ces différents modèles. Elle sera engagée de 1963 à 1965. Elle est ici dans sa version des 24 Heures du Mans en 1965, pilotée par Pierre Monneret et Robert Bouharde où elle ne terminera pas la course.
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Renault fait revivre Alpine depuis 2015 avec le retour d’une berlinette, dévoilée dans sa version définitive de série à Genève en mars 2017. Ce coffret réunit deux A110 dernière génération sous deux versions différentes : la finition “Pure” et la version S dévoilée en juin 2019, dont la puissance passe de 252 à 292 ch. Ce coffret Norev fait l’objet d’un tirage numéroté de 500 exemplaires.
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Début 1955, Jean Rédélé lance la marque Alpine et son premier modèle, l'A106. Propulsion à moteur arrière, cette berlinette utilise des éléments mécaniques Renault. Cette reproduction de Norev est un modèle d'après l'automne 1956, moment où elle reçoit un vrai pare-brise étudié pour elle. Au départ, il s'agissait d'une lunette arrière de Renault Frégate.
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Renault a longuement préparé le retour d’Alpine, label de sport fondé en 1955, racheté par le Losange en 1973 et disparu en 1995. L’A110 du 21e siècle a été présentée en tant que concept-car en 2015, puis comme modèle de série à Genève en mars 2017 pour être lancée un an plus tard. Elle est ici dans une version camouflée, dévoilée en teasing par Renault dès la fin 2016.
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Cette firme française née en 1955 passe à la vitesse supérieure au début des années 1960. D'abord avec l'élaboration de sa berlinette A110 qui fera son immense réputation, mais aussi presque en même temps, à l'automne 1960, avec sa première 2+2 places, cette A108. Elle est ici reproduite dans une version d'après octobre 1961 avec ses pare-chocs plus élégants que les premiers en tubes.
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Produite de 1962 à 1977, la berlinette A110 dite Tour de France a fait la réputation d’Alpine en rallye comme sur route. Le design, très réussi, a peu évolué au cours de son existence. Eligor ne précise pas exactement quelle version cette décoration est censée représenter. Il s’agit en tout cas d’une version datée d’après 1971 lorsqu’elle reçoit des clignotants avant de Citroën Dyane.
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Le 8 mars 1971 l’A310 vient épauler la célèbre A110 en apportant une dose homéopathique de confort. Le style est moderne et inspiré, la carrosserie toujours en polyester stratifié et le moteur, celui de la R16TS au lancement, reste en porte-à-faux arrière. Les lamelles qui recouvrent la lunette arrière sur les prototypes, façon Lamborghini Miura, disparaissent sur la version de série.
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Dès le salon de Paris fin 1966, la berlinette d'Alpine se propose avec un moteur de Renault 16. Il s'agit alors d'un 1,5 litre. Cette version 1600 S, 1,6 litre donc, apparaît à l'automne 1969 et propose alors 138 ch SAE (125 ch DIN). Le tout pour à peine plus de 600 kg. Cette version signée Troféu est un modèle de la fin 1971 lorsque l'A110 emprunte ses clignotants à la Citroën Dyane.