Ce cabriolet est basé sur la Fiat 1200 Granluce sortie en 1957. Sa particularité pour l’époque est d’avoir un toit targa. Dessinée par Michelotti pour Vignale, cette Wonferful (c’est son nom !) ne passera pas à la série mais aura été réalisée en quelques exemplaires. Il en resterait cinq. Elle fait une apparition dans le film “Les combinards”, avec Michel Serrault et Darry Cowl, sorti en 1966.
L’appellation 6C apparaît en 1925, d’abord associée à une cylindrée de 1,5 litre. Celle-ci augmentera progressivement pour atteindre 2 443 cm³ en 1938 sur la 6C 2500. Il s’agit ici d’un coupé Ghia de 1950. Quatre exemplaires en ont été construits, trois sur châssis Alfa et un quatrième sur un châssis tubulaire spécifique, version reproduite ici, dans sa couleur brun cuivré.
Ce joli coupé dessiné en 1954 par Franco Scaglione alors chez Bertone n’a jamais atteint le stade de la série. Seuls deux coupés et deux spiders en ont été produits. Alfa Romeo préféra finalement à ce projet celle qui deviendra la Giulia Sprint. Des deux coupés réalisés, l’une version, grise, est aujourd’hui au musée Alfa Romeo d’Arese, près de Milan. L’autre, rouge, appartient à un particulier.
La “petite” BMW série 02, qui a précédé la première Série 3 de 1975, est sortie en 1966. La fabrication de la variante cabriolet lancée en 1968 sera confiée au carrossier Baur. Celui-ci imagine aussi un coupé sur la base d’une 1602, avec une partie avant presque semblable mais un pavillon plus court et une lunette arrière plus inclinée. Mais cette jolie variante ne passera pas à la série.
La “petite” BMW série 02, qui a précédé la première Série 3 de 1975, est sortie en 1966. La fabrication de la variante cabriolet lancée en 1968 sera confiée au carrossier Baur. Celui-ci imagine aussi un coupé sur la base d’une 1602, avec une partie avant presque semblable mais un pavillon plus court et une lunette arrière plus inclinée. Mais cette jolie variante ne passera pas à la série.
Cadillac DeVille Coupé show car 1949 noire (Matrix) 1/43e
Avant d’être une voiture de série fin 1949, la DeVille coupé s’est exposée sous la forme d’un show car (on dirait concept-car aujourd’hui) au début de cette même année. Il s’agissait alors de donner l’impression d’un cabriolet, mais avec un toit fixe. Cette étude repose sur le châssis de 133 pouces de la Cadillac Série 60 mais le modèle de série sera basé sur le châssis plus court de la Série 62.
Chevrolet Corvair coupé Pininfarina 1962 (Avenue 43) 1/43e
Dans les années 1960, la Corvair constitue une originalité chez Chevrolet puisque cette gamme s’équipe d’un 6 cylindres à plat logé à l’arrière. Elle marque aussi le retour à des lignes plus simples après la débauche de chromes des années 1950. Trois études réalisées par Pininfarina, en 1960, 1962 (reproduite ici) et 1963, accentueront encore la sobriété des lignes. Aucune ne passera à la série.
Cadillac DeVille Coupé show car 1949 grise (Matrix) 1/43e
Avant d’être une voiture de série fin 1949, la DeVille coupé s’est exposée sous la forme d’un show car (on dirait concept-car aujourd’hui) au début de cette même année. Il s’agissait alors de donner l’impression d’un cabriolet, mais avec un toit fixe. Cette étude repose sur le châssis de 133 pouces de la Cadillac Série 60 mais le modèle de série sera basé sur le châssis plus court de la Série 62.
Dans les années 1960, le pick-up est déjà assez populaire aux États-Unis, mais il s’agit d’un utilitaire des plus basiques. Ce concept-car exposé au Salon de Détroit fin 1966 en fait un véhicule de luxe, au design soigné et futuriste. Ses lignes sont dues à Syd Mead, styliste de 33 ans venu du cinéma. L’accès à bord s’effectuait par le basculement, côté droit ou gauche, du pavillon vers l’avant.
Après avoir été une société italienne, Pininfarina est passé sous capitaux indiens (dirigé par Mahindra) et son siège social est en Allemagne. Pininfarina est revenu en 2019 dans le monde automobile avec cette berlinette électrique qui doit son nom au fondateur de la marque. Faisant l’objet d’un tirage limité à 150 exemplaires, cette supercar de 1900 ch est produite en Croatie chez Rimac.
Après avoir été une société italienne, Pininfarina est passé sous capitaux indiens (dirigé par Mahindra) et son siège social est en Allemagne. Pininfarina est revenu en 2019 dans le monde automobile avec cette berlinette électrique qui doit son nom au fondateur de la marque. Faisant l’objet d’un tirage limité à 150 exemplaires, cette supercar de 1900 ch est produite en Croatie chez Rimac.
Et si Wartburg avait imaginé la compacte moderne avant tout le monde ? Ce projet 355 date en effet de 1968 et ses lignes sont presque aussi modernes que celles d’une VW Golf lancée en 1974 ou d’une Ford Fiesta de 1976. Il s’agit déjà d’une traction, et qui reçoit en prime un hayon. La marque est-allemande réalisera quatre prototypes de ce projet, mais sans qu’il ne passe en série.
À partir de 1957, Renault étudie des prototypes (restés sans suite) au concept innovant, consistant à avancer au maximum l’habitacle, supprimant ainsi le capot avant. La partie arrière, plate, abrite le moteur de la Dauphine. Ce premier projet 600 sera pénalisé par l’accès à bord difficile et l’absence de coffre. Un projet 900 résoudra certes ces problèmes, mais rien ne viendra en série.
L’appellation Eldorado apparaît en série en 1953. Il s'agit alors d'un cabriolet basé sur la Série 62 de la marque de luxe de General Motors. La style va régulièrement évoluer, surtout dans les années 1950 avec l’allongement des ailerons arrière. Il s’agit ici d’un cinq prototypes d’Eldorado réalisés en 1958 qui testaient un système de détection de pluie refermant la capote automatiquement.
L’appellation Eldorado apparaît en série en 1953. Il s'agit alors d'un cabriolet basé sur la Série 62 de la marque de luxe de General Motors. La style va régulièrement évoluer, surtout dans les années 1950 avec l’allongement des ailerons arrière. Il s’agit ici d’un cinq prototypes d’Eldorado réalisés en 1958 qui testaient un système de détection de pluie refermant la capote automatiquement.
Cette appellation fait son apparition en série en 1953. Il s'agit alors d'un cabriolet élaboré sur la Série 62 de la marque de luxe de General Motors. La style va régulièrement évoluer, surtout dans les années 1950 avec l’allongement des ailerons arrière. Il s’agit ici d’une Eldorado expérimentale de 1958 qui testait un système de détection de pluie refermant la capote automatiquement.
Cette appellation fait son apparition en série en 1953. Il s'agit alors d'un cabriolet élaboré sur la Série 62 de la marque de luxe de General Motors. La style va régulièrement évoluer, surtout dans les années 1950 avec l’allongement des ailerons arrière. Il s’agit ici d’une Eldorado expérimentale de 1958 qui testait un système de détection de pluie refermant la capote automatiquement.
Ce coffret tiré à 1000 exemplaires numérotés célébrait en 2019 les 100 ans de la marque Citroën, avec deux modèles : la 10 HP Type A, première voiture du constructeur en 1919, ici dans sa version torpédo à 4 places. Et le concept-car électrique 19_19, présenté en 2019 pour justement marquer l’événement. Celui-ci fait référence, par ses couleurs, à la “petite Rosalie” de record des années 1920.
59,90€Le prix initial était : 59,90€.25,90€Le prix actuel est : 25,90€.
Label de Ford créé en 1939, Mercury a disparu en 2011. Dans les années 1950, le constructeur réalise, comme les autres marques américaines, plusieurs concept-cars. Mais cette D-528 conçue en 1955 n’a été montrée au public qu’en 1964 ! Vue dans le film The pasty (Jerry souffre-douleur) de et avec Jerry Lewis, elle sera ensuite vendue à un particulier et perdra un temps sa couleur cuivre d’origine.
Label de Ford créé en 1939, Mercury a disparu en 2011. Dans les années 1950, le constructeur réalise, comme les autres marques américaines, plusieurs concept-cars. Mais cette D-528 conçue en 1955 n’a été montrée au public qu’en 1964 ! Vue dans le film The pasty (Jerry souffre-douleur) de et avec Jerry Lewis, elle sera ensuite vendue à un particulier et perdra un temps sa couleur cuivre d’origine.