Cette marque anglaise, engloutie par Jaguar en 1960 est encore en 1951, année de cette DB18, la marque préférée de la famille royale… qui lui préférera ensuite Rolls-Royce. Il s'agit ici de la dernière DB18, à moteur 6 cylindres 2 ½ litres, lancée en 1949 et dont l'origine remonte à 1939. Comme la berline déjà reproduite par Matrix, ce cabriolet est habillé par le carrossier Hooper.

Basée sur une Triumph TR3, la SP250 constitue une petite curiosité dans l’histoire de l’anglais Daimler. Née en 1959, elle sera, dès 1960, améliorée par Jaguar qui vient de racheter Daimler et profitera d’une rigidité accrue. Équipée d’un V8 2,5 litres, la SP250 est ici dans une version de la police de Londres. Celle-ci en utilisera une trentaine, toutes équipées d’une boîte automatique.

Élaborée sur un châssis de Triumph TR3, la SP250 constitue une petite curiosité dans l’histoire de l’anglais Daimler. Lancée en 1959, elle sera, dès 1960, sérieusement améliorée par Jaguar qui vient de racheter Daimler. Elle profitera notamment d’une rigidité accrue. Équipée d’un V8 2,5 litres, la SP250, ici datée de 1962, sera vendue à 2 645 exemplaires jusqu’à sa disparition en 1964.

Cette marque anglaise, engloutie par Jaguar en 1960 est encore en 1951, année de cette DB18, la marque préférée de la famille royale… qui lui préférera ensuite Rolls-Royce. Il s'agit ici de la dernière DB18, à moteur 6 cylindres 2 ½ litres, lancée en 1949 et dont l'origine remonte à 1939. Elle est habillée par le carrossier anglais Hooper et aura notamment un certain succès… en Inde.