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Originaire d’Allemagne et né en 1914, Albrescht Goertz est connu pour avoir dessiné la BMW 507 dans les années 1950. Plus tard il sera aussi associé à la réalisation de la Toyota 2000 GT. Avant cela, il s’était établi aux États-Unis à partir de 1936 où sa première réalisation reconnue est ce coupé Paragon, élaboré sur un châssis Mercury et présenté à l’Exposition Universelle de New York en 1939.
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En 1957, toutes les Mercury sont basées sur un même empattement de 3,10 m avec pour seul moteur un V8 décliné en 5,1 litres ou 6 litres. Coiffant la gamme, la Turnpike, avec ses insolites prises d’air au-dessus du pare-brise, sort cette année-là, proposée en berline, coupé ou cabriolet, reproduit ici. Dès 1958 la Turnpike devient une finition de la Montclair puis elle disparait en 1959.
En 1950 un Américain, Leo Lyons inspiré par le style des customs, décide de réaliser sa propre Mercury. La réalisation débutera en 1955 et s’achèvera en 1959. Si la carrosserie en aluminium est spécifique, ce coupé emprunte des éléments à différents modèles. Surnommée “l’Ultra Modern Merc”, elle devait être produite à 10 exemplaires mais Leo Lyons n’en fabriqua qu’une, qui existe toujours.
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A l’origine, la Comet aurait dû être une Edsel mais cette marque lancée par Ford en 1958 a fait un tel flop que le groupe a décidé de lancer ce modèle chez Mercury, après avoir été, pendant deux ans, en 1960 et 1961, vendu sans badge aucun. Il s’agit ici de la troisième série de Comet, qui apparaît en 1966. Elle est dans sa version plus sportive appelée Cyclone, en coupé hardtop.