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En 1957, toutes les Mercury sont basées sur un même empattement de 3,10 m avec pour seul moteur un V8 décliné en 5,1 litres ou 6 litres. Coiffant la gamme, la Turnpike, avec ses insolites prises d’air au-dessus du pare-brise, sort cette année-là, proposée en berline, coupé ou cabriolet, reproduit ici. Dès 1958 la Turnpike devient une finition de la Montclair puis elle disparait en 1959.
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L’appellation Park Lane est d’abord utilisée par un break Ford en 1956. Puis de 1958 à 1960 et de 1964 à 1968 par Mercury, label de Ford disparu en 2011. Il s’agit ici d’un modèle 1959 dont la calandre est plus sobre que celle du modèle 1958, en coupé Hardtop (sans pilier central). La diffusion confidentielle de la Park Lane et sur une courte période en fait un modèle rare aujourd’hui.
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L’appellation Park Lane est d’abord utilisée par un break Ford en 1956. Puis de 1958 à 1960 et de 1964 à 1968 par Mercury, label de Ford disparu en 2011. NEO avait déjà reproduit une Park Lane millésime 1959. Goldvarg propose ici une version datée de 1965, au style entretemps sérieusement assagi, dans sa variante hardtop coupé. 6 853 exemplaires en seront produits cette année-là.
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En 1950 un Américain, Leo Lyons inspiré par le style des customs, décide de réaliser sa propre Mercury. La réalisation débutera en 1955 et s’achèvera en 1959. Si la carrosserie en aluminium est spécifique, ce coupé emprunte des éléments à différents modèles. Surnommée “l’Ultra Modern Merc”, elle devait être produite à 10 exemplaires mais Leo Lyons n’en fabriqua qu’une, qui existe toujours.
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A l’origine, la Comet aurait dû être une Edsel mais cette marque lancée par Ford en 1958 a fait un tel flop que le groupe a décidé de lancer ce modèle chez Mercury, après avoir été, pendant deux ans, en 1960 et 1961, vendu sans badge aucun. Il s’agit ici de la troisième série de Comet, qui apparaît en 1966. Elle est dans sa version plus sportive appelée Cyclone, en coupé hardtop.