Début 2021, McLaren présentait la remplaçant de la 570S, nantie d’un vrai nom : Artura. Une berlinette au physique proche de celui de sa devancière, mais avec une technologie totalement repensée puisque le V8 4 litres thermique était remplacé par un V6 3 litres associé à un moteur électrique rechargeable. La crise sanitaire a ensuite repoussé la sortie de l’Artura au printemps 2022.
Début 2021, McLaren présentait la remplaçant de la 570S, nantie d’un vrai nom : Artura. Une berlinette au physique proche de celui de sa devancière, mais avec une technologie totalement repensée puisque le V8 4 litres thermique était remplacé par un V6 3 litres associé à un moteur électrique rechargeable. La crise sanitaire a ensuite repoussé la sortie de l’Artura au printemps 2022.
La remplaçante des McLaren 650S et 675LT a été présentée au Salon de Genève en mars 2017. D’abord attendue comme étant le projet P14, cette propulsion britannique a finalement adopté l’appellation 720S. Puis elle s’est déclinée au printemps 2020 en 765 LT, tirée à 765 exemplaires, plus aérodynamique, plus légère et portant le V8 biturbo de 720 à 765 ch.
La remplaçante des McLaren 650S et 675LT a été présentée au Salon de Genève en mars 2017. D’abord attendue comme étant le projet P14, cette propulsion britannique a finalement adopté l’appellation 720S. Puis elle s’est déclinée au printemps 2020 en 765 LT, tirée à 765 exemplaires, plus aérodynamique, plus légère et portant le V8 biturbo de 720 à 765 ch.
La remplaçante des McLaren 650S et 675LT a été présentée au Salon de Genève en mars 2017. D’abord attendue comme étant le projet P14, cette propulsion britannique a finalement adopté l’appellation 720S. Puis elle s’est déclinée au printemps 2020 en 765 LT, tirée à 765 exemplaires, plus aérodynamique, plus légère et portant le V8 biturbo de 720 à 765 ch.
La remplaçante des McLaren 650S et 675LT a été présentée au Salon de Genève en mars 2017. D’abord attendue comme étant le projet P14, cette propulsion britannique a finalement adopté l’appellation 720S. Puis elle s’est déclinée au printemps 2020 en 765 LT, tirée à 765 exemplaires, plus aérodynamique, plus légère et portant le V8 biturbo de 720 à 765 ch.
La remplaçante des McLaren 650S et 675LT a été présentée au Salon de Genève en mars 2017. D’abord attendue comme étant le projet P14, cette propulsion britannique a finalement adopté l’appellation 720S. Puis elle s’est déclinée au printemps 2020 en 765 LT, tirée à 765 exemplaires, plus aérodynamique, plus légère et portant le V8 biturbo de 720 à 765 ch.
La remplaçante des McLaren 650S et 675LT a été présentée au Salon de Genève en mars 2017. D’abord attendue comme étant le projet P14, cette propulsion britannique a finalement adopté l’appellation 720S. Puis elle s’est déclinée au printemps 2020 en 765 LT, tirée à 765 exemplaires, plus aérodynamique, plus légère et portant le V8 biturbo de 720 à 765 ch.
Début 2021, McLaren présentait la remplaçant de la 570S, nantie d’un vrai nom : Artura. Une berlinette au physique proche de celui de sa devancière, mais avec une technologie totalement repensée puisque le V8 4 litres thermique était remplacé par un V6 3 litres associé à un moteur électrique rechargeable. La crise sanitaire a ensuite repoussé la sortie de l’Artura au printemps 2022.
Basée sur la 570 S lancée en 2015 (et remplacée en 2021 par l’Artura), la 600 LT (LT pour “long tail”) en est la version radicale, plus efficace, plus légère et plus puissante, son patronyme indiquant qu’ici le V8 3,8 litres biturbo McLaren est poussé de 570 à 600 ch. Sur cette reproduction au 1/18e, les portes en élytre s’ouvrent et les rétroviseurs extérieurs sont à poser soi-même.
Basée sur la 570 S lancée en 2015 (et remplacée en 2021 par l’Artura), la 600 LT (LT pour “long tail”) en est la version radicale, plus efficace, plus légère et plus puissante, son patronyme indiquant qu’ici le V8 3,8 litres biturbo McLaren est poussé de 570 à 600 ch. Sur cette reproduction au 1/18e, les portes en élytre s’ouvrent et les rétroviseurs extérieurs sont à poser soi-même.
Dévoilée en décembre 2017 et exposée au public en mars 2018 au Salon de Genève, la Senna est une McLaren au tirage limité à 500 exemplaires. Elle rend bien sûr hommage au pilote Ayrton Senna, qui a écrit une partie de la glorieuse histoire de McLaren en Formule 1 entre 1988 et 1993. La McLaren Senna reçoit un V8 biturbo 4 litres de 800 ch logé en position centrale arrière.
Dévoilée en décembre 2017 et exposée au public en mars 2018 au Salon de Genève, la Senna est une McLaren au tirage limité à 500 exemplaires. Elle rend bien sûr hommage au pilote Ayrton Senna, qui a écrit une partie de la glorieuse histoire de McLaren en Formule 1 entre 1988 et 1993. La McLaren Senna reçoit un V8 biturbo 4 litres de 800 ch logé en position centrale arrière.
Si la P1 ressemble esthétiquement aux 650/675, elle en est techniquement assez éloignée puisqu’elle dispose d’une mécanique hybride, permettant de passer la puissance à 916 ch tout en réduisant les émissions de CO2 de près de 30 %. Série - limitée à 375 exemplaires la P1, produite de 2013 à 2016 et ici en rouge mat, était aussi vendue cinq à six fois plus cher que le reste de la gamme.
Comme chez Lamborghini, le matricule des McLaren correspond à la puissance du moteur. Il s’agit ci d’un V8 3,8 litres biturbo de 570 ch. Dévoilée d’abord en version 570 S en mars 2015 puis déclinée en une variante “de base” à 540 ch, cette berlinette a ensuite été présentée en 570 GT en février 2016 dont le châssis, par rapport à la 570 S, est davantage adapté à la route qu’au circuit.
Comme chez Lamborghini, le matricule des McLaren correspond à la puissance développée par le moteur. Il s’agit ci d’un V8 3,8 litres biturbo de 675 ch. Lancée début 2015, la 675 LT se distingue de la 650 S, apparue un an plus tôt, par sa puissance, son poids réduit mais aussi sa partie arrière redessinée, LT signifiant “long tail” (longue queue). Il s’agit ici de la carrosserie Spider.
Comme chez Lamborghini, le matricule des McLaren correspond à la puissance développée par le moteur. Il s’agit ici d’un V8 3,8 litres biturbo de 675 ch. Lancée début 2015, la 675 LT se distingue de la 650 S, apparue un an plus tôt, par sa puissance, son poids réduit mais aussi sa partie arrière redessinée, LT signifiant “long tail” (longue queue). Il s’agit ici de la carrosserie coupé.
Après une longue absence dans la voiture “de série", McLaren est revenu fin 2011 avec sa MP4-12C. Une berlinette presque raisonnable par son prix, alors voisin de celui d'une Ferrari 458 Italia, lorsque la F1 des années 1990 était une supercar inaccessible. Le V8 3,8 litres maison n'a, lui, rien de raisonnable avec ses 600 ch ! Cette Solido est plus simple que celle réalisée par Minichamps.
Après une longue absence dans la voiture "de série", McLaren est revenu fin 2011 avec sa MP4-12C. Une berlinette d'exception, presque raisonnable par son prix, comparable à celui d'une Ferrari 458 Italia, lorsque la F1 des années 1990 était une supercar inaccessible. Le V8 3,8 litres maison n'a, lui, rien de raisonnable avec ses 600 ch ! Aussi reproduite par Minichamps.
En décembre 2010, alors que la MP4-12C de série était à peine commercialisée, McLaren en annonçait la version GT3. Celle-ci participait au championnat anglais dès 2011 puis s’engageait en 2012 au Championnat du Monde FIA GT1. La puissance est réduite pour l’homologation (500 ch au lieu de 600), mais carrosserie et châssis sont optimisés pour la course. Cette Minichamps est en résine.