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Au Salon de Genève en mars 1966, tout le monde n’a d’yeux que pour la nouvelle Lamborghini Miura, dessinée par le jeune Marcello Gandini (27 ans). Mais le stand Bertone expose un autre modèle, dû au même designer et un peu tombé dans l’oubli au fil du temps : ce coupé plus classique, élaboré sur une Jaguar Type S de l’époque. Deux exemplaires, qui existent toujours, en seront fabriqués.
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Au Salon de Genève en mars 1966, tout le monde n’a d’yeux que pour la nouvelle Lamborghini Miura, dessinée par le jeune Marcello Gandini (27 ans). Mais le stand Bertone expose un autre modèle, dû au même designer et un peu tombé dans l’oubli au fil du temps : ce coupé plus classique, élaboré sur une Jaguar Type S de l’époque. Deux exemplaires, qui existent toujours, en seront fabriqués.
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Si la XJ n’a pas eu droit à un break officiel, Jaguar lui a offert un coupé. Présentée dès 1973, cette XJC (ainsi que sa jumelle chez Daimler) n’a été produite qu’à partir de 1975 et pendant trois ans seulement. Reposant sur un empattement raccourci de la berline XJ, la XJC, ici représentée en version V12, se dispense de montants de portes et reçoit de série un toit vinyle.
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En 1968, la 420G constitue la dernière évolution de la Mark X née en 1961. Elle laissera progressivement place à la XJ qui sort à la fin de cette année 1968. La 420G se distingue de la 420 de 1966 par une calandre affinée et son jonc chromé sur les flancs. Jaguar ne produira la 420G qu’en berline. La maison Classic Cars of Coventry réalisera vers 1969 dix exemplaires de ce cabriolet.
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Sous le coup de crayon de Marcello Gandini, alors habitué à dessiner des Lamborghini (Miura, Espada, Countach), Bertone présente en 1977 cette étude sur base de Jaguar XJ-S, coupé né en 1975. L’Ascot n’aboutira pas à un modèle de série mais son style annonce les prémices de la Citroën BX en 1982. Exemplaire unique, l’Ascot fera des apparitions sous deux teintes en blanc et couleur or.
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Sous le coup de crayon de Marcello Gandini, alors habitué à dessiner des Lamborghini (Miura, Espada, Countach), Bertone présente en 1977 cette étude sur base de Jaguar XJ-S, coupé né en 1975. L’Ascot n’aboutira pas à un modèle de série mais son style annonce les prémices de la Citroën BX en 1982. Exemplaire unique, l’Ascot fera des apparitions sous deux teintes en blanc et couleur or.
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Cette célèbre Jaguar (la plus célèbre ?) est sortie en 1961. En 1968, la Type E devient Série 2, perd un essuie-glace (il n'en reste "plus que" deux) et se décline en une version longue. En 1971, la troisième série, reproduite ici, ne conserve que la version longue, même en cabriolet auparavant seulement élaboré sur le châssis court.
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Lorsque la XK 140 succède à la XK 120 en 1954, la gamme comprend d’abord un coupé et un roadster. Ce cabriolet qui arrive en 1955 est un peu moins radical que le roadster, avec une capote plus épaisse visible une fois pliée, et des vitres intégrées aux portes. Le 6 cylindres 3,4 litres est le même. Ce cabriolet trouvera 2 940 clients en deux ans, contre 3 347 roadsters en trois ans.
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La Jaguar 420 lancée en octobre 1966 est une évolution de la S-Type de 1963 (elle-même issue de la Mark II de 1955). La 420 se distingue très nettement de ses devancières par sa calandre plus verticale et qui retire à cette grande berline une bonne partie de son aspect joufflu. Elle reçoit aussi un moteur 6 cylindres de 4,2 litres (248 ch SAE) au lieu d'un 3,4 litres ou d'un 3,8 litres.
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Dévoilée à Londres en 1948 comme le XK 120 roadster, la MK V est une évolution des Jaguar d'avant-guerre. Elle s'en distingue par une mécanique plus moderne, des roues arrière camouflées et une jolie découpe de vitres latérales. Le plus amusant c'est qu'il n'y a jamais eu de Jaguar appelée MK I à MK IV, et sa remplaçante en 1950 s'appellera… MK VII ! En gris et noir depuis avril 2021.
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La XK 120 lancée en 1948 est à l’origine d’une longue lignée de modèles sportifs chez Jaguar. Elle deviendra XK 140 en 1954 puis XK 150 en 1958 jusqu’à l’arrivée de la Type E en 1961. La plupart de ces coupés et roadsters étaient carrossés par l’usine. La XK 120 a toutefois eu droit à quelques exemplaires habillés par Ghia ou, ici, Pinin Farina avec ce coupé réalisé en 1954.
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Après avoir eu droit à une Série II puis une Série III, la magnifique XJ née en 1969 reçoit des phares rectangles, souvent contestés, en 1986 lors de sa génération X40. Mais les phares ronds reviendront sur la X300 de 1994. IXO reproduit ici une X308 lancée en 1997, qui troque les 6 et 12 cylindres pour un V8 et devient XJ8. Il s’agit de l’ultime XJ avant son complet renouvellement en 2003.
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Née en 1969, la XJ est incontestablement l'une des plus belles berlines de l'histoire. Au moins jusqu'en 1986 jusqu'à ce qu'elle tente les plus discutables phares rectangles. Cette Série III 1979 conserve encore les phares ronds et profite d'évolutions par rapport à la Serie II de 1973 : de nouveaux pare-chocs avec protections en caoutchouc et un habitacle retouché par Pininfarina.
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