La 456 GT est un magnifique coupé produit par Ferrari de 1992 à 2004. À la demande du riche sultan du Brunei, la 456 a aussi été déclinée en plusieurs variantes réalisées par Pininfarina avec le consentement de Ferrari : cette berline trois volumes, réalisée en cinq exemplaires, un cabriolet (deux exemplaires) et un break à 5 portes, fabriqué en sept exemplaires.

La 456 GT est un magnifique coupé produit par Ferrari de 1992 à 2004. À la demande du riche sultan du Brunei, la 456 a aussi été déclinée en plusieurs variantes réalisées par Pininfarina avec le consentement de Ferrari : cette berline trois volumes, réalisée en cinq exemplaires, un cabriolet (deux exemplaires) et un break à 5 portes, fabriqué en sept exemplaires.

Née en 1963, la 911 ne proposait que deux mini-places arrière, et c’est toujours le cas. À la fin des années 1960, des tentatives de 911 à 4 vraies places sont imaginées. Matrix a déjà reproduit une 911 Type 915 qui n’a pas abouti à la série. Porsche avait aussi demandé à Pininfarina de plancher sur l’idée. Cette B17 allongée de 20 cm de 1969 ne passera pas davantage à la production.

Lorsque la 212 Inter sort, en 1951, Ferrari est encore une jeune marque puisque ses premières réalisations datent de 1947. L’essentiel des 212 Inter seront habillées par Ghia et Vignale. Pinin Farina (écrit en deux mots à l’époque) aura toutefois construit 16 coupés (et deux cabriolets) pendant à peine un an à partir de décembre 1952. Le moteur est un V12 2,6 litres de 160 ch.

Début 1958, au Salon de Genève, Pinin Farina (en deux mots à l’époque) présente l’étude Skylight, un élégant coupé pour Cadillac. À Paris à l’automne suivant, un cabriolet en est exposé. Aucune des deux ne fut commercialisée et il semble même, sans qu’aucune source n’en apporte la preuve, que ces deux concept-cars ne sont en fait qu’une seule et même voiture, modifiée d’un salon à l’autre.

Début 1958, au Salon de Genève, Pinin Farina (en deux mots à l’époque) présente l’étude Skylight, un élégant coupé pour Cadillac. À Paris à l’automne suivant, un cabriolet en est exposé. Aucune des deux ne fut commercialisée et il semble même, sans qu’aucune source n’en apporte la preuve, que ces deux concept-cars ne sont en fait qu’une seule et même voiture, modifiée d’un salon à l’autre.

En 1975, Jaguar remplace la fameuse Type E par la XJ-S. Si celle-ci finira par devenir à son tour un classique, elle fut au départ décriée par son style et son gabarit. En 1978, Pininfarina, où travaille alors Leonardo Fioravanti, imagine ainsi ce qu’aurait pu être une “vraie” descendante de la Type E. Il présente ce concept-car au Salon de Birmingham… mais qui restera sans suite.

En 1975, Jaguar remplace la fameuse Type E par la XJ-S. Si celle-ci finira par devenir à son tour un classique, elle fut au départ décriée par son style et son gabarit. En 1978, Pininfarina, où travaille alors Leonardo Fioravanti, imagine ainsi ce qu’aurait pu être une “vraie” descendante de la Type E. Il présente ce concept-car au Salon de Birmingham… mais qui restera sans suite.

La Jaguar XJ lancée en 1968 profite d’un moteur V12 à partir de 1972. Le carrossier turinois Pininfarina en profite alors pour donner une touche de latinité à la belle berline britannique. La base technique est ainsi conservée mais le dessin est totalement repensé. Présenté au Salon de Paris à l’automne 1973, ce joli concept-car restera sans suite.

Présenté à Turin en 1949, ce coupé Fiat 1100 S prendra communément l’appellation 1100 ES lors de sa mise en production en 1950, en même temps que la berline 1100 E. Ce coupé est en réalité un 1100 S de 1947 recarrossée et modernisé par Pininfarina. Heureuse initiative : il s’en produira 450 dès 1950, soit autant que pendant les trois années précédentes. Mais la production cessera dès… 1951.