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Ferdinand Porsche a conçu la VW Beetle, autrement dit la Coccinelle. Puis il a créé sa propre marque en imaginant une sportive élaborée à partir de la Coccinelle. Ainsi apparaît la 356 en 1948. Il s’agit ici d’une première génération, encore dotée d’une simple grille d’aération arrière, reproduite dans sa version Speedster lancée en 1954 et au pare-brise plus petit que celui du cabriolet.
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Ferdinand Porsche a conçu la VW Beetle, autrement dit la Coccinelle. Puis il a créé sa propre marque, sous son nom, en imaginant une sportive élaborée à partir de la Coccinelle. Ainsi apparaît la jolie 356 en 1948. Il s’agit ici d’une première génération, encore pourvue d’une simple grille d’aération arrière mais déjà équipée d’un pare-brise d’une seule pièce, apparu en 1952.
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Après plus de 12 ans de carrière et 11 500 exemplaires produits, l’Aventador a laissé place à la Revuelto. Présentée en mars 2023, celle-ci arbore un gabarit impressionnant avec ses 4,95 m de long. Le V12 6,5 litres atmosphérique a été conservée et même porté à 825 ch. Il est désormais accompagné de trois moteurs électriques pour fournir 1015 ch, la Revuelto étant une hybride rechargeable.
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Après plus de 12 ans de carrière et 11 500 exemplaires produits, l’Aventador a laissé place à la Revuelto. Présentée en mars 2023, celle-ci arbore un gabarit impressionnant avec ses 4,95 m de long. Le V12 6,5 litres atmosphérique a été conservée et même porté à 825 ch. Il est désormais accompagné de trois moteurs électriques pour fournir 1015 ch, la Revuelto étant une hybride rechargeable.
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La 12 Gordini a succédé à la 8 Gordini sans profiter du même palmarès sportif. Il faut que dire que l'on passait d'une tout à l'arrière à une traction. Mais sous le capot, cette 12 se distingue du reste de la gamme, avec un 1,6 litre de 125 ch SAE lorsqu'une R12 TS s'en tenait à 68 ch. Cette Norev est datée de 1971, l'année de sa sortie, et se dispense de pare-chocs, qui étaient optionnels.
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La Golf GTI a été un succès immédiat en Europe et de nombreuses rivales ont tenté de l'imiter. La seule à y être vraiment parvenue, c'est la 205. Née début 1983, elle sort en GTI 105 ch en 1984, puis passe à 115 ch et se décline en 1,9 litre 130 ch fin 1986, reproduite ici. Celle-ci bénéficiait de jantes spécifiques, remplacées ici par les jantes PTS encore légèrement différentes.
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Ce break 500 sort en mai 1960, près de trois ans après la "berline". Le moteur arrière est couché sous le plancher pour optimiser un peu la taille du coffre. Longue de 3,18 m, la "jardinière" sera produite jusqu'en 1968 par Fiat puis jusqu’en 1977 par Autobianchi, toujours avec ses portes ouvrant "dans le mauvais sens" contrairement au reste de la gamme 500.
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À partir de 1961, le carrossier Chapron assure la production de la DS cabriolet pour Citroën. Mais il dispose aussi de sa propre gamme de modèles sur base DS. Le Palm Beach lancé fin 1962 est ici dans sa dernière version, profitant du restylage de l’été 1967, qui sera produite à 9 exemplaires jusqu’en 1970.
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À partir de 1961, le carrossier Chapron assure la production de la DS cabriolet pour Citroën. Mais il dispose aussi de sa propre gamme de modèles sur base DS. Ce coupé Le Dandy apparaît dès 1960, mais il s’agit ici d’un modèle 1965 adoptant ce dessin d’ailes arrière anguleux spécifique.
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En parallèle à la fabrication de la DS Cabriolet pour Citroën, Chapron proposait sa propre gamme de modèles dérivés de la DS : des coupés et cabriolets dès 1958 puis la berline Majesty, à partir de 1965. La Lorraine succède à cette dernière en 1969 et sera produite à 19 exemplaires jusqu’en 1974.
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La R30 vient coiffer la gamme Renault en mars 1975. Compacte pour un haut de gamme (4,52 m de long), elle reçoit le V6 PRV déjà installé sur les Peugeot 604 et Volvo 260. Le moteur, à carburateur, ne développe alors que 128 ch. Norev propose ici en gris métallisé (depuis janvier 2024) la finition TX qui apparaît à l’automne 1978. Doté d’une injection, le V6 passe alors 142 ch.
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Présentée à Paris à l’automne 1969 en berline et un an plus tard en break, la Renault 12 sera le modèle français le plus produit de 1973 à 1975. Cette finition TS, “forte” de 60 ch au lieu de 54 ch pour les R12 L et TL, sort en 1972. Elle reçoit un freinage assisté, une console centrale, une montre, des sièges spécifiques et se reconnaît à ses roues façon Gordini et à sa baguette chromée.
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Début juin 2021, BMW dévoilait cette exécution GT3 du coupé M4 génération G82, en vue de courir, dès le 26 juin de la même année, aux 24 Heures du Nürburgring. Elle succédait alors, sur la piste, à la M6 GT3. Développée à partir de la M4 Compétition, la GT3 pousse le 3 litres biturbo jusqu’à 590 ch. Elle est ici dans sa version de présentation.
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Élaborée sur la plate-forme raccourcie de la DB11, la Vantage, dévoilée fin 2017, a débuté sa carrière en 2018. Lancée en coupé à deux places, elle s'est déclinée en roadster en 2020. Sous le capot de cette propulsion loge au départ un V8 4 litres gavé par deux turbos, épaulé à partir de 2022 par un V12 5,2 litres de 700 ch, version reproduite ici. Cette reproduction Top Speed est en résine.
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Elaborée sur la base de la FKP 37, elle même issue d’une Aventador SVJ, la Countach LPI 800-4 a été présentée en août 2021. Elle fait l’objet d’un tirage limité à 112 exemplaires, rend hommage à la première Countach, dessinée par Marcello Gandini, présentée en 1971 et produite de 1974 à 1990. La mécanique est ici assurée par le V12 maison associé à un système hybride, le tout permettant un total de 803 ch.
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Les adeptes des lignes tendues de la 240 ont été servis lorsqu'en 1982 Volvo a présenté la série 700. Cette routière apparaît d'abord sous le matricule 760 avec des moteurs V6 puis se décline en 740 avec cette fois des blocs 4-cylindres. En 1985 apparaîtra le break. Cette famille jouera les prolongations en 1992 en devenant 940 et 960 jusqu’en 1998 avec un restylage.
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Les adeptes des lignes tendues de la 240 ont été servis lorsqu'en 1982 Volvo a présenté la série 700. Cette routière apparaît d'abord sous le matricule 760 avec des moteurs V6 puis se décline en 740 avec cette fois des blocs 4-cylindres. En 1985 apparaîtra le break. Cette famille jouera les prolongations en 1992 en devenant 940 et 960 jusqu’en 1998 avec un restylage.
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En 1934 Citroën sort son célèbre modèle, à châssis monocoque, qui prendra ensuite l'appellation populaire de Traction. Il ne s'agit en fait pas de la première traction au monde : l'Américain Cord en fabriquait déjà depuis 1929 et le Français Tracta en avait réalisé dès 1927. Cette version au 1/18e signée Solido est une 11B berline, équipée des roues "Pilote" de Michelin apparues à l’automne 1937.
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Produite à partir 1947, la 4CV, première nouveauté Renault d’après-guerre, est ici dans une version d'après octobre 1953 avec sa calandre à trois grosses barres et non plus la grille à six barrettes. Il s’agit d’une version Sport (21 ch !) avec, sur le pare-choc avant, un avertisseur côté gauche et un antibrouillard côté droit, qui sera lui aussi remplacé par un avertisseur fin 1954.
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Née en 1967, la Dyane joue les 2CV modernisées. Mais, dessinée par Louis Bionier, styliste de la Panhard 24, elle disparait en 1983, 8 ans avant son aînée. Il s'agit ici d'une Dyane 6 (602 cm³) dans l’une de ses dernières versions, les sièges avant séparés arrivant en 1979 et les poignées de portes noire arrivant fin 1977… même si Solido indique qu’il s’agit d’un modèle 1976.