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À partir de 1939, Bugatti planche sur une mini-voiture, élaborée autour d’un moteur, le Type 68, un 4 cylindres 330 cm³ à 16 soupapes et compresseur qui passera ensuite à 370 cm³ en 8 soupapes. Il équipera un prototype de roadster, prévu d’être décliné en un coupé dont les lignes évoquent l’Atlantic. Celui-ci, reproduit ici, ne sera réalisé que plus tard à partir des dessins de l’époque.
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Comme d’autres constructeurs, Bugatti a développé un modèle spécifique pour le jeu vidéo Gran Turismo… dans lequelle cette Vision n’a finalement fait qu’une brève apparition. Exposée à Francfort en septembre 2015, elle annonçait les lignes de la Chiron, présentée six mois plus tard. Cette Bugatti n’aura été réalisée à l’échelle 1 qu’à un exemplaire mais a droit à sa reproduction au 1/43e.
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La Type 46 sort à l'automne 1929. La société Bugatti a alors 20 ans et son immense Royale, née deux ans plus tôt, n'a pas trouvé de client. Cette 46, surnommée "petite Royale" reste très luxueuse mais apparaît plus accessible. Son 8 cylindres à double allumage compte 24 soupapes. Il s’agit ici d’un cabriolet de 1930, habillé par de Villars, carrossier établi à Courbevoie, près de Paris.
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Présentée en 2019, la Centodieci (110 en italien) célèbre les 110 ans de Bugatti, tout en évoquant la fameuse EB110 des années 1990, lorsque ce prestigieux label était, pour quelques années, une marque italienne. Basée sur la Chiron dont le W16 quadri-turbo passe de 1500 à 1600 ch, la Centodieci est un tirage ultra limité à dix exemplaires, vendus 8 millions d’euros hors taxe pièce.
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Présentée en 2019, la Centodieci (110 en italien) célèbre les 110 ans de Bugatti, tout en évoquant la fameuse EB110 des années 1990, lorsque ce prestigieux label était, pour quelques années, une marque italienne. Basée sur la Chiron dont le W16 quadri-turbo passe de 1500 à 1600 ch, la Centodieci est un tirage ultra limité à dix exemplaires, vendus 8 millions d’euros hors taxe pièce.
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Présentée en 2019, la Centodieci (110 en italien) célèbre les 110 ans de Bugatti, tout en évoquant la fameuse EB110 des années 1990, lorsque ce prestigieux label était, pour quelques années, une marque italienne. Basée sur la Chiron dont le W16 quadri-turbo passe de 1500 à 1600 ch, la Centodieci est un tirage ultra limité à dix exemplaires, vendus 8 millions d’euros hors taxe pièce.
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La Bugatti 57 fait partie des grands classiques de l'histoire automobile. Un modèle de grand tourisme avec notamment le coupé Atalante, mais aussi très sportif dans ses versions recarrossées en "Tank". Ici il s'agit d'un spectaculaire cabriolet habillé par Vanvooren, carrossier parisien en activité entre 1888 et 1950, et qui fut offert par le gouvernement français au Shah d’Iran en 1939.
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Avant que cette prestigieuse marque d’origine française ne soit reprise par Volkswagen en 1998, Bugatti a été, un temps, italien. Relancée en 1991 par Romano Artioli, cette deuxième vie de Bugatti a essentiellement été assurée par cette berlinette EB 110 qui avait déjà tout de la supercar avec son V12 biturbo de plus de 600 ch et son prix équivalent à celui de deux Ferrari 512TR.
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Avant que cette prestigieuse marque d’origine française ne soit reprise par Volkswagen en 1998, Bugatti a été, un temps, italien. Relancée en 1991 par Romano Artioli, cette deuxième vie de Bugatti a essentiellement été assurée par cette berlinette EB 110 qui avait déjà tout de la supercar avec son V12 biturbo de plus de 600 ch et son prix équivalent à celui de deux Ferrari 512TR.
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Dès 1923, une “Tank” destinée à la compétition est réalisée par Bugatti. Son appellation vient bien sûr de son physique, censé être aérodynamique. Le principe en est repris sur la 57G qui commence par gagner le Grand Prix de l’ACF et qui s’illustrera surtout, dans cette version, en 1937 en remportant les 24 Heures du Mans, la première des deux victoires mancelles de l’histoire Bugatti.
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Présentée fin 1931, la Type 55, à moteur 8 cylindres de 2,3 litres, n’a été produite qu’à 38 exemplaires jusqu’en 1935. Ce châssis 55206 habillé à Lyon par la maison Billeter et Cartier avait été livré en février 1932 au Dr Jacques Kocher alors grand amateur de la marque. Cette 55 est ici en bleu et noir tel qu’elle fut restaurée une première fois par Peter Agg dans les années 1990.
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Présentée fin 1933, la 57 sort en mars 1934. Bugatti propose trois carrosseries : la berline Galibier, le coach Ventoux et le cabriolet Stelvio. Auxquelles s'ajoutera ensuite le coupé Atalante. Il s’agit ici d’une Galibier de 1934 (les ailes seront plus enveloppantes en 1935), dont les poignées de portes arrière, visibles au Salon de 1933, disparaissent au moment de la commercialisation.
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Basée sur la 46, la 50 se dévoile à l’automne 1930. Produite à 65 exemplaires en deux ans, elle est la première Bugatti de route à moteur double arbre à cames (un 8 cylindres 5 litres). Il s’agit ici d’une 50T (Touring) en coach profilé réalisé par Jean Bugatti à l’automne 1932, avec non seulement le pare-brise très incliné mais aussi la poupe fuyante et les ailes arrière enveloppantes.
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Présentée fin 1933, la 57 sort en mars 1934. Bugatti propose trois carrosseries : la berline Galibier, le coach Ventoux et le cabriolet Stelvio. Auxquelles s'ajoutera ensuite le coupé Atalante. Il s’agit ici d’une Galibier de 1934 (les ailes seront plus enveloppantes en 1935), dont les poignées de portes arrière, visibles au Salon de 1933, disparaissent au moment de la commercialisation.
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Présentée à l’automne 1933, la Bugatti 57 est d’abord une berline, les coupé et cabriolet arrivant juste après. Ce cabriolet Stelvio reçoit une carrosserie usine. Il s’agit de la 2ème série lancée quelques semaines après la première. Elle garde ses roues fils et ses roues arrière dégagées mais les ailes avant sont plus enveloppantes. Nickel reproduit ce modèle avec roues arrière carénées.
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Bien que relativement courte (1909-1963), la première partie de l’histoire Bugatti est jalonnée de grands classiques comme les coupés Atalante et Atlantic et l’incroyable Royale. En compétition, la Type 35 est un must. Élégante, racée, légère et puissante, cette Bugatti produite entre 1924 et 1931 à plus de 600 exemplaires affichait alors un palmarès sportif sans équivalent.