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La Type 46 sort à l'automne 1929. La société Bugatti a alors 20 ans et son immense Royale, née deux ans plus tôt, n'a pas trouvé de client. Cette 46, surnommée "petite Royale" reste très luxueuse mais apparaît plus accessible. Son 8 cylindres à double allumage compte 24 soupapes. Il s’agit ici d’un cabriolet de 1930, habillé par de Villars, carrossier établi à Courbevoie, près de Paris.
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Présentée en 2019, la Centodieci (110 en italien) célèbre les 110 ans de Bugatti, tout en évoquant la fameuse EB110 des années 1990, lorsque ce prestigieux label était, pour quelques années, une marque italienne. Basée sur la Chiron dont le W16 quadri-turbo passe de 1500 à 1600 ch, la Centodieci est un tirage ultra limité à dix exemplaires, vendus 8 millions d’euros hors taxe pièce.
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Présentée en 2019, la Centodieci (110 en italien) célèbre les 110 ans de Bugatti, tout en évoquant la fameuse EB110 des années 1990, lorsque ce prestigieux label était, pour quelques années, une marque italienne. Basée sur la Chiron dont le W16 quadri-turbo passe de 1500 à 1600 ch, la Centodieci est un tirage ultra limité à dix exemplaires, vendus 8 millions d’euros hors taxe pièce.
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La Bugatti 57 fait partie des grands classiques de l'histoire automobile. Un modèle de grand tourisme avec notamment le coupé Atalante, mais aussi très sportif dans ses versions recarrossées en "Tank". Ici il s'agit d'un spectaculaire cabriolet habillé par Vanvooren, carrossier parisien en activité entre 1888 et 1950, et qui fut offert par le gouvernement français au Shah d’Iran en 1939.
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Avant que cette prestigieuse marque d’origine française ne soit reprise par Volkswagen en 1998, Bugatti a été, un temps, italien. Relancée en 1991 par Romano Artioli, cette deuxième vie de Bugatti a essentiellement été assurée par cette berlinette EB 110 qui avait déjà tout de la supercar avec son V12 biturbo de plus de 600 ch et son prix équivalent à celui de deux Ferrari 512TR.
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Avant que cette prestigieuse marque d’origine française ne soit reprise par Volkswagen en 1998, Bugatti a été, un temps, italien. Relancée en 1991 par Romano Artioli, cette deuxième vie de Bugatti a essentiellement été assurée par cette berlinette EB 110 qui avait déjà tout de la supercar avec son V12 biturbo de plus de 600 ch et son prix équivalent à celui de deux Ferrari 512TR.
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Dès 1923, une “Tank” destinée à la compétition est réalisée par Bugatti. Son appellation vient bien sûr de son physique, censé être aérodynamique. Le principe en est repris sur la 57G qui commence par gagner le Grand Prix de l’ACF et qui s’illustrera surtout, dans cette version, en 1937 en remportant les 24 Heures du Mans, la première des deux victoires mancelles de l’histoire Bugatti.
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Présentée fin 1931, la Type 55, à moteur 8 cylindres de 2,3 litres, n’a été produite qu’à 38 exemplaires jusqu’en 1935. Ce châssis 55206 habillé à Lyon par la maison Billeter et Cartier avait été livré en février 1932 au Dr Jacques Kocher alors grand amateur de la marque. Cette 55 est ici en bleu et noir tel qu’elle fut restaurée une première fois par Peter Agg dans les années 1990.
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Présentée fin 1933, la 57 sort en mars 1934. Bugatti propose trois carrosseries : la berline Galibier, le coach Ventoux et le cabriolet Stelvio. Auxquelles s'ajoutera ensuite le coupé Atalante. Il s’agit ici d’une Galibier de 1934 (les ailes seront plus enveloppantes en 1935), dont les poignées de portes arrière, visibles au Salon de 1933, disparaissent au moment de la commercialisation.
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Basée sur la 46, la 50 se dévoile à l’automne 1930. Produite à 65 exemplaires en deux ans, elle est la première Bugatti de route à moteur double arbre à cames (un 8 cylindres 5 litres). Il s’agit ici d’une 50T (Touring) en coach profilé réalisé par Jean Bugatti à l’automne 1932, avec non seulement le pare-brise très incliné mais aussi la poupe fuyante et les ailes arrière enveloppantes.
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Présentée fin 1933, la 57 sort en mars 1934. Bugatti propose trois carrosseries : la berline Galibier, le coach Ventoux et le cabriolet Stelvio. Auxquelles s'ajoutera ensuite le coupé Atalante. Il s’agit ici d’une Galibier de 1934 (les ailes seront plus enveloppantes en 1935), dont les poignées de portes arrière, visibles au Salon de 1933, disparaissent au moment de la commercialisation.